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Christophe Desportes-Guilloux (CDG)

43 ans
Orléanais d'adoption et militant socialiste

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Orléansphère

22 août 2007 3 22 /08 /août /2007 12:05

pasteur-creche.jpgOn pourrait croire que Serge Grouard a lu l'article de Côté Boulevard : il a retiré le panneau avec le gros bébé qui trônait au milieu de l'avenue de Paris. En fait, il n'en est rien, c'est simplement parce que la loi impose qu'à partir du 1er septembre la communication municipale se fasse beaucoup plus discrète.
Du coup, il risque de ne plus se passer grand chose concernant la petite enfance.

En effet, on apprend cette semaine, dans la République du Centre, que la crèche "Pasteur" en cours de construction n'ouvrira en fait, que pour accueillir les enfants de la crèche des Chats ferrés qui, elle, fermera pour travaux. Et encore tous ne seront pas accueillis sur place, car l'équipement en construction sera plus petit que celle du centre ville. C'est ce que la Rep appelle le "jeu de chaises musicales dans les crèches".

On pensait que cet équipement serait un "plus" pour le quartier, dont la population augmente, avec l'arrivée de familles dans la ZAC Coligny. Il faut donc se détromper ! Il n'y aura que 60 places de crèche dans ce si grand bâtiment, construit à la place de ce qui était précédemment la médecine du travail.

La crèche parentale située place Dunois a déménagé pour le quartier St-Marceau, la crèche Pasteur est déjà saturée, les enfants du quartier ne sont pas prêts à être accueillis !

Les autres non plus d'ailleurs, puisque le service "Petite enfance" annonce déjà que 150 demandes resteront sans réponse !

Qui a parlé de "La ville pour les enfants" ?

photo CDG

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commentaires

V
Orléanaise depuis peu, je m’intéresse à la vie sociale dans cette commune.Dans Libération, de mercredi, un article parle de l’expulsion hâtive d’une famille de sans-papiers à Orléans.J’ai voulu interpeller le journaliste sur des imprécisions de son article.Je vous indique en substance ce que j’ai écrit dans mon commentaire qui n’a pas été publié (et que je n’avais pas pris la précaution de sauvegarder) afin de vous demander votre avis sur le pourquoi de la censure :Après avoir indiqué que le fond de l’article ne me laissait en rien indifférente, je demandais s’il s’agissait de la famille Muliqi ou Miliqi (les deux noms étant employés dans l’article) je demandais si les habitants du Kosovo étaient des kosovars ou des kosovards (les deux termes sont également utilisés) et enfin j’interpellais l’auteur sur le fait que le terme « hâtif » faisant référence à l’expulsion aurait pu être étayé, en expliquant notamment quels sont les délais « habituels » en la matière. J’ajoutais que faute de précisions, un article peut devenir plus sujet à contestation qu’à consternation, et j’invitais les lecteurs qui restaient dubitatifs à se renseigner par eux même sur lesdits délais.J’ajoute ici qu’il me semble qu’il s’agit d’un bon exemple de partialité que de faire ressortir dans un article le côté drame humain, plutôt que le côté juridique, car appuyer par l’aspect juridique (délai d’appel de 48H sur les décisions d’expulsion alors que l’expulsion semble être effective - d’après le récit - au bout de 24H) le récit aurait trouvé encore plus de force !Mais je n’ai pas été publiée… Pourquoi ?Comme j’ai trouvé sur ce blog des commentateurs qui réagissaient au côté partial et partiel de certains auteurs, je me suis dis que cet exemple pourrait les intéresser.
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C
Bonjour VLEPLe sujet de l'expulsion de cette famille sera traitée ici dans un prochain article, vous aurez donc tout le loisir de commenter.Une remarque toutefois : Chacun écrit ses commentaires comme il le souhaite, mais si vous mettez en cause certains commentateurs, je vous encourage à ne pas tomber dans les mêmes travers : les remarques sur l'orthographe, par exemple, affaiblissent considérablement votre argumentaire. Donnez votre avis, clairement, car sur cette histoire d'expulsion - le fond du problème, n'est-ce pas ? - je ne sais pas ce que vous pensez...
L
Cher tous,J'ai laissé ce Blog "vivre sa vie" deux jours sans adresser un seul commentaire à l'article intitulé "Petite enfance: à part la communication, on fait quoi?", publié mercredi 22 août. Que constate-t-on: deux so called "commentaires" ont été adressés. Le premier évoque un retard sur une construction/dotation dont il est fait reproche directement au Maire (tiens, cette fois-ci, les entreprises ont disparu...). Le second pour évoquer la visite de Nicolas Sarkozy au marché de Noël l'an passé, sans rapport, donc, avec l'objet de l'article.A chaque fois, CDG s'est fendu de remarques laconiques, ambiance "Ah, ouais, t'as bien raison, Raymond", qui n'ont en rien enrichi sa belle démonstration.J'ai eu l'occasion d'exposer le sens de ma démarche sur le très chouette Blog engagé de Romain Soulas (http://romainsoulas.canalblog.com/), voici quelques jours: "En revanche, je trouve nauséabond l'exercice de certains parangons de vertu qui critiquent pour critiquer, de façon "partiale et partielle", à grands coups d'amalgames faciles, et grands renforts de sous-entendus dégueulasses. Le tout sous couvert... d'humour et d'objectivité. Alors que l'on peut faire de la politique honnêtement (...), sans dérapage apparent.Sans jouer les justiciers masqués, je considère que les laisser user sans reproche de ce ton nuit gravement à la qualité de la démocratie. N'oublions pas 2002 et la présence de Le Pen au second tour des Présidentielles."Que Raymond me pardonne, mais à quoi sert ce Blog de Môssieur CDG en vérité, sinon à toujours "balancer", critiquer, invectiver, sans rien proposer de concret, ni accepter que l'on ne soit pas d'accord avec le fond (quand il y en a) et la forme (quand elles y sont)?Je regrette en tout cas que des personnes comme Robert se soient si vite lassées d'apporter leur pierre... dans le jardin de ces gens!"Bien cordialement,"Lulu
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C
Voici, en exclusivité pour les lecteurs de monorleans.com, le paragraphe consacré à la visite mouvementée de Nicolas Sarkozy à Orléans dans les pages du livre de Yasmina Reza (L'aube, le soir ou la nuit, ed. Flammarion) à paraître demain :"Pour son dernier bain de foule de l'année, Nicolas Sarkozy a choisi le marché de Noël d'Orléans..." peut-on lire dans un journal. Un bain amer et agité, d'un côté ceux qui hurlent Sarko-Président, de l'autre -Sarko-partout-justice-nulle-part et d'autres invectives. Ce sont les mêmes, atteints par une même hystérie vociférante, et victimes d'une même dissolution de l'être dans la foule.Certains se reconnaîtront...Les autres "perles" sont déjà largement disponibles sur la toile.Bonne lecture à tous ceux qui l'achèteront ;-)
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C
Etonnant... en effet !
D
Mais enfin il y a la mini crèche du Pot d'étain dont M. Grouard nous a tant rebattu les oreiles en début de mandat !!!... ah ! vivement les élections municipales...
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C
Oui, "mini" crèche ! vous l'avez dit !Mais ce sont de maxi besoins qu'il y a maintenant !

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